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Plaidoyer pour la réouverture des écoles au Kenya

En collaboration avec les parties prenantes de l’éducation, le FAWE Kenya a préparé un rapport pour éclairer le débat et la prise de décision dans le secteur de l’éducation en ce qui concerne la réouverture et la gestion des écoles, collèges et universités face au COVID-19. Le rapport indique les facteurs clés qui doivent être pris en compte avant la réouverture des établissements scolaires et propose des recommandations pour garantir la sûreté.

Lire la suite: Executive Brief – MEDIA

Constitution du groupe de travail régional de la Communauté d’Afrique de l’Est sur la violence basée sur le genre

La Communauté d’Afrique de l’Est a accepté de constituer un groupe de travail régional de la Communauté d’Afrique de l’Est sur la violence basée sur le genre avec les partenaires de l’Alliance de plaidoyer pour les filles (GAA), à savoir: FAWE, MEMPROW et EACSOF Kenya. Le groupe de travail comprendra le ministère des affaires de la Communauté d’Afrique de l’Est, les organisations de la société civile (OSC) de base / nationales, les OSC internationales, le réseau national de la jeunesse et le ministère responsable des questions de genre.

Le FAWE Malawi fait partie du groupe de travail sur la réouverture des écoles, des collèges et des universités.

Le FAWE Malawi a été nommé par le Ministère de l’éducation, des sciences et de la technologie pour faire partie du groupe de travail national sur la réouverture des établissements scolaires. Depuis la réunion initiale tenue le 22 mai 2020, le groupe de travail a recommandé que tous les établissements scolaires soient rouverts le 13 juillet 2020. Actuellement, diverses parties prenantes sont consultées sur les meilleures stratégies à adopter pour garantir la prise en compte du droit à la vie et à l’éducation.

Lire la suite: PRESS RELEASE – UPDATE BY THE TASKFORCE ON THE RE-OPENING OF SCHOOLS, COLLEGES AND UNIVERSITIES

Le FAWE s’associe à l’Union africaine (UA) pour lancer le blog des Jeunes Féministes Africaines / “Sauti صوتي”

Alors que le monde fait face au Covid-19, une chose est désormais mise en évidence : la disparité de genre dans les différents secteurs. Plusieurs études ont révélé une augmentation des cas de violence basée sur le genre (VBG) en raison du confinement des victimes avec leurs agresseurs et ce, sans assistance adéquate.

En outre, malgré l’appel urgent des organisations de la société civile (OSC) à veiller à ce que les droits des femmes et des filles ne soient pas compromis, il y a très peu de preuves dans le continent pour montrer que les gouvernements africains continuent de donner la priorité aux droits des filles et des femmes dans le cadre de la riposte à la pandémie de COVID-19.

C’est dans ce contexte que la voix des jeunes féministes africaines doit être un élément crucial de la conversation. En particulier, celles qui sont touchées par la fracture numérique. La plupart des jeunes femmes africaines rurales et marginalisées n’ont pas de connexion internet et sont donc privées du pouvoir de la révolution numérique.

Ce partenariat vise à mettre en lumière les luttes, le plaidoyer et les acquis des jeunes femmes africaines face à la pandémie mondiale du COVID-19 et à amplifier leurs voix et leurs actions, ainsi qu’à commander une étude pour examiner l’impact de COVID-19 sur les jeunes en Afrique.

Lancé à l’occasion de la Journée internationale de la femme, le blog des jeunes féministes (Sauti) présentera des témoignages inédits et  sous-représentées de jeunes femmes à travers l’Afrique et la Diaspora, mettant en valeur leurs innovations et leur impact dans la communauté dans la lutte contre le COVID-19.

Ces dernières semaines, les jeunes femmes du continent ont été invitées à s’exprimer par des textes, par des moyens visuels ou audio/vidéo (court documentaire) ou par tout autre moyen créatif et expression artistique, afin de mettre en évidence l’impact des jeunes femmes et des actions menées par des femmes pour faire face au COVID-19, ainsi que de présenter les difficultés et les défis quotidiens auxquels les jeunes femmes sont confrontées dans le cadre de l’évolution de la situation de la pandémie COVID-19.

Avec le soutien du réseau de la société civile, le genre: mon agenda (GIMAC), le FAWE examine actuellement les contributions reçues et compile les 25 meilleures contributions dans une publication numérique pour documenter les expériences des jeunes femmes en Afrique dans le cadre de la riposte continentale au COVID-19.

Le Programme alimentaire mondial (PAM) en partenariat avec le FAWE Gambie (FAWEGAM) met en œuvre le programme d’alimentation scolaire à l’aide de produits locaux

Le gouvernement Gambien a signé un accord avec le Programme alimentaire mondial (PAM) pour mettre en place un programme national durable d’alimentation scolaire. Le programme sera mis en œuvre dans les régions pauvres et en situation d’insécurité alimentaire, afin d’améliorer la scolarisation et la rétention des apprenants dans les centres de développement infantile et le cycle de l’éducation de base.

Les principaux objectifs du programme sont de mettre en place les bases d’un programme d’alimentation scolaire durable géré et pris en charge au niveau national et de veiller à ce que les acquis obtenus soient consolidés et améliorés, en particulier dans les régions où le niveau d’éducation est nettement inférieur.

Pour atteindre l’objectif principal d’un programme d’alimentation scolaire à l’aide de produits locaux durable (HGSFP), il est nécessaire de planifier la transition de la gestion vers l’appropriation et la gestion nationales; par la production, l’approvisionnement, la transformation et l’enrichissement des aliments locaux.

De ce fait, pour que l’alimentation scolaire à l’échelle locale soit un succès, la source de produits alimentaires et le financement des repas scolaires seront basés au niveau local. Les écoliers seront nourris de produits locaux qu’ils connaissent bien et la communauté devra donc assumer la responsabilité de la gestion de l’alimentation scolaire. Pour renforcer encore le HGSFP, les potagers scolaires seront améliorés afin qu’ils puissent compléter les vivres fournis par la communauté.

Le FAWEGAM et deux autres ONG sont chargés d’établir des comités de gestion des aliments et de surveiller l’application des compétences et le niveau de participation communautaire au niveau de la mise en œuvre. Les comités sont composés de membres de la communauté, des responsables scolaires et des étudiants. Ces membres connaissent bien la gestion de programme, la logistique, l’approvisionnement et le suivi et l’évaluation.

La communauté est tenue de s’approprier pleinement le HGSFP en s’impliquant à toutes les étapes de la mise en œuvre. Leurs rôles et responsabilités ont été clairement définis lors des formations. En outre, des mécanismes ont été mis en place pour rendre compte du programme d’alimentation scolaire aux niveaux national, régional et local.

Soutenir les activités du club et répondre aux besoins des familles grâce aux revenus générés par les innovations dans le domaine des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM)

Le développement d’innovations visant à résoudre les problèmes communautaires est essentiel à la promotion du projet STIM (Sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) dans les écoles partenaires du FAWE.

Dans ces écoles, les activités des clubs sont facilitées par la recherche, le mentorat et l’apprentissage par les pairs. Les élèves de différentes écoles qui y participent créent des idées dans leurs clubs STIM respectifs, les essaient et les traduisent en différentes innovations qui sont présentées à la fois dans leurs écoles et dans les concours régionaux des STIM.

Les meilleures innovations sont ensuite sélectionnées pour représenter leurs régions lors des concours nationaux et internationaux. En conséquence, les apprenants qui ont développé des innovations dont l’efficacité à répondre aux besoins de la communauté a été prouvée, ont mis à l’échelle leurs projets pour gagner des revenus en les vendant aux membres de la communauté.

C’est le cas  d’Aguta Rebecca, une étudiante de St. Catherine S.S dans le district de Lira qui a créé un système de recharge électrique à vélo qui est utilisé pour charger les téléphones dans les communautés rurales où l’alimentation électrique limitée. Elle a pu fabriquer 8 systèmes, qu’elle a vendus à UGX. 35 000 chacun. Le coût de fabrication pour un système s’élève à UGX. 11 000, réalisant donc un bénéfice d’UGX. 24 000. Jusqu’à présent, elle a épargné à peu près UGX. 280 000. « Je vais utiliser ces économies pour payer mes frais de scolarité au niveau du lycée, pourvoir aux besoins de ma famille, par exemple pour acheter des provisions. J’ai également des frères et sœurs pour lesquels je vais acheter du matériel scolaire » dit-elle.

Cette innovation devrait profiter non seulement à sa famille mais aussi à la communauté dont Aguta est originaire.

A l’école secondaire YY.Okot du district de Kitgum, au nord de l’Ouganda, une équipe de membres du club STIM a fait une innovation en utilisant du charbon pour fabriquer un réfrigérateur local. Le réfrigérateur a été vendu à une structure médicale privée pour la conservation des médicaments, pour un montant d’UGX. 300 000. Cet argent a été utilisé pour financer les activités du club STIM.

A l’école secondaire d’Iganga, à l’est de l’Ouganda, les membres du club STIM ont commencé à cultiver des légumes tels que «Sukuma Wiki» (chou vert) et des aubergines qu’ils fournissent à leur école pour nourrir leurs camarades. L’école paie les fournitures; l’année dernière, en 2019, ils ont réalisé un total d’UGX.1 800 000. Cet argent a été utilisé pour soutenir les activités du club, y compris l’achat de matières premières pour les innovations, le financement des visites d’échange et d’apprentissage et une petite allocation pour les membres du club. Les potagers scolaires ont également amélioré la nutrition des élèves et ont permis à l’établissement d’économiser de nombreuses ressources qu’il aurait utilisées s’il s’était approvisionné sur des marchés extérieurs.

Les étudiantes de l’école secondaire des filles de Tororo ont fait preuve de créativité en proposant diverses innovations, notamment un gâteau au potiron, des pesticides agricoles, des cuiseurs à eau solaires et du fumier organique provenant d’excréments d’animaux utilisé pour engraisser les cultures. Ces produits sont vendus à des prix abordables aux membres de la communauté, notamment aux enseignants et aux responsables administratifs de l’école.” A la fin du trimestre, le club a gagné un total d’UGX. 3 000 000 provenant des ventes et cela a joué un grand rôle dans le soutien des activités du club en complétant l’appui fourni par la direction de l’école”, a déclaré le président du club STIM.

Changer les perceptions et inspirer les filles à poursuivre les sciences

L’enseignement des sciences a été fortement mal perçu comme étant difficile, destiné uniquement aux garçons, d’où l’association avec la masculinité. C’est pourquoi les femmes scientifiques sont peu nombreuses dans les établissements d’enseignement supérieur par rapport à la majorité des hommes. Quelques filles qui se distinguent dans le domaine des sciences sont également considérées comme possédant des capacités spéciales et uniques, et peut-être porteuses de gènes masculins.

Les matières scientifiques comme les mathématiques, la physique et la chimie sont considérées comme impraticables pour les étudiantes. Ainsi, les proposer au niveau A est considéré comme un grand risque car il est largement admis qu’elles sont vouées à l’échec avant même de se présenter aux examens. Les perceptions des communautés ont poussé de nombreuses filles à abandonner ou à échouer dans les disciplines scientifiques. Rebecca Aguta, une étudiante de quatrième année à St. Catherine S.S Lira, a avoué qu’en raison de ses mauvais résultats en sciences, son père, qui est enseignant dans le district d’Alebtong, a menacé de cesser de payer ses frais de scolarité au profit de ses frères qui avaient de bons résultats. Elle témoigne : “J’avais l’habitude de pleurer pour persuader mes parents de payer mes frais de scolarité”.

Aujourd’hui, elle attribue son séjour à l’école, son amour actuel et ses performances améliorées dans les disciplines scientifiques à la mise en œuvre du projet STIM dans leur école. Les activités STIM, qui mettent l’accent sur l’enseignement et l’apprentissage pratiques, un langage sensible au genre et l’approche amicale des enseignants lui ont fait développer une attitude positive dans les disciplines STIM. Elle réussit maintenant mieux que ses frères en sciences pour lesquels son père avait auparavant beaucoup d’espoir.  “Papa est maintenant satisfait de ma performance et m’encourage à étudier des sciences au niveau A et je suis prête à le faire.” Elle ajoute.

Actuellement, Aguta n’est qu’une de nombreuses filles qui encouragent leurs pairs, avec confiance, à s’orienter vers les disciplines scientifiques, car elles sont faciles et passables.  Elle a persuadé la plupart d’entre elles de changer d’orientation et celles-ci aiment désormais les sciences au dépens de disciplines littéraires. Elle déclare: “Aujourd’hui, de nombreuses filles ont abandonné les disciplines des sciences  humaines en faveur des sciences simplement parce que les stéréotypes de la communauté sont traités dans le cadre du projet STIM – notamment par le club STIM”.

Atimango Mercy, qui s’est inscrite à YY.Okot Memorial College, partage le même point de vue, à savoir que les disciplines scientifiques sont difficiles et ne peuvent jamais être étudiées par des filles. Cette perception, dit-elle, la hantait et, alors qu’elle était en 1ère année de l’école secondaire, tous ses résultats en sciences étaient très médiocres. Lorsque le projet STIM a été lancé dans leur école alors qu’elle était en deuxième année, son parcours a considérablement changé et chaque fois que les résultats étaient publiés à la fin du trimestre, elle obtenait un score de plus de 90 % en mathématiques, une matière qu’elle trouvait auparavant difficile.

Appel De Résumés: 2e Conference Internationale Sur L’education Des Filles en Afrique

Thème de la conférence: Vers des approches efficaces pour la participation et l’excellence des filles : Préparer les filles africaines à acquérir les compétences du 21ème siècle

Le Forum des éducatrices africaines (FAWE), accueillera la deuxième Conférence internationale sur l’éducation des filles en Afrique , à Kampala, en Ouganda. La date exacte à confirmer entre août au plus tard en décembre 2020 sous le thème “Vers des approches efficaces pour la participation et l’excellence des filles: Préparer les filles africaines à acquérir les compétences du 21ème siècle”. L’objectif général de la conférence est de fournir une plate-forme aux chercheurs, académiciens, étudiants, scientifiques, innovateurs et autres professionnels d’Afrique subsaharienne pour partager les progrès, les défis et les tendances de développement contemporaines dans le domaine des STIM et fournir une opportunité d’explorer des alternatives façons de penser à préparer les filles africaines aux compétences du 21ème siècle.

A cette fin, le FAWE invite les éducateurs, les étudiants, les chercheurs, les chefs d’entreprise et de l’industrie, les scientifiques et les représentants d’organismes sans but lucratif, privés et publics à soumettre des résumes pour examen. Les candidats intéressés doivent se concentrer sur l’un des cinq sous-thèmes suivants

  • Augmenter la participation des filles dans les STIM
  • Enseignement l’enseignement et la formation techniques et professionnels (EFTP) adaptée et de qualité
  • Renforcement des capacités des enseignants (Pédagogie sensible au genre) pour les STIM
  • Politiques d’éducation en matière de STIM
  • Leçons et opportunités sur la gestion de l’éducation pendant une pandémie

Pour plus de détails, cliquez sur le lien: 2nd FAWE INTERNATIONAL CONFERENCE ON GIRLS_CALL FOR ABSTRACTS_APPEL DE RÉSUMÉS

S.E. Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal lance le plan stratégique du FAWE 2019-2023 lors du sommet de l’Union africaine

Tous les systèmes étaient au rendez-vous pour FAWE alors que S.E. Monsieur Macky SALL, Président de la République du Sénégal a dirigé une délégation de Gouvernements Africains de haut niveau lors du lancement du nouveau plan stratégique du FAWE 2019-2023 lors de la 36e réunion ordinaire du Comité Spécialisé des dix Chefs d’Etat et de gouvernement (C10) Champions de l’éducation, de la science et de la technologie en Afrique, tenue le 8 février 2020 au siège de l’Union africaine (UA), Addis-Abeba, Éthiopie.

Flanqué de la Commissaire aux ressources humaines et technologiques de l’Union africaine S.E. Prof. Sarah ANYANG AGBOR, et de représentants des Gouvernements des pays du C10 (Sénégal, Soudan du Sud, Tchad, Kenya, Malawi, Tunisie, Égypte, Gabon, Sierra Leonne et Maurice), le Président a félicité FAWE pour son “approche de développement consistant à mélanger l’approche basée sur les besoins avec une approche basée sur les droits afin d’atténuer les défis rencontrés par l’éducation des filles et des femmes et de leur donner les moyens d’être autonomes.’’

S.E. le Président a en outre réaffirmé son engagement à mobiliser les États membres à commencer par les pays du C10, les acteurs de l’éducation et les partenaires au développement pour soutenir la cause du FAWE et contribuer à son panier de financement.

De sa part, S.E. Prof. Sarah ANYANG AGBOR a exprimé sa joie sur des réalisations du FAWE au fil des ans et a promis de devenir membre associé du FAWE Afrique.

The event culminated to a luncheon at the Intercontinental Hotel, Addis Ababa Ethiopia. The luncheon was graced by the United Nations Special Envoy on Right to Education Dr. Koumba Barry who called for unrestricted funding to enable FAWE adequately respond to the ever emerging issues on girls’ education. L’événement s’est terminé par un déjeuner à l’hôtel Intercontinental, Addis-Abeba, Ethiopie. Le déjeuner a été honoré par la Rapporteure spéciale des Nations Unies sur le droit à l’éducation, Dr Koumba BOLY BARRY, qui a appelé à un financement sans restriction pour permettre au FAWE de répondre de manière adéquate aux problèmes toujours émergents concernant l’éducation des filles.

“Je comprends la nécessité d’une responsabilité spécifique, mais en même temps, je sais que plus de restrictions ne nous donnent pas les résultats escomptés. Un financement illimité permet aux organisations de planifier à l’avance, d’accroître leur efficacité et de conserver un personnel talentueux ,” a déclaré Dr BARRY.

La Présidente du FAWE Afrique, la professeure Naana J. OPOKU- AGYEMANG a saisi l’occasion pour remercier l’Union africaine, en particulier l’AUHRST, les organismes des Nations Unies et les partenaires au développement qui soutiennent la cause du FAWE depuis plus de deux décennies. Elle a observé qu’un soutien accru au FAWE permettra à l’organisation “de rester un catalyseur d’apprentissage, de devenir un facilitateur des processus de changement et un innovateur d’interventions durables et sensibles au genre sur le continent.”

Tout en mettant en évidence les principaux domaines d’intervention du FAWE dans le cadre du nouveau plan, la Directrice Exécutive de FAWE Afrique, Mme Martha R L MUHWEZI, a noté que l’organisation s’engagerait à “mettre en relation les enfants non scolarisés, y compris ceux en situation de conflit avec des opportunités d’EFTP, plaidant pour la prise en compte du genre dans les plans du secteur de l’éducation et accroître la participation des femmes et des filles aux STEM ”, entre autres.

L’événement a également vu certains des partenaires clés du FAWE, à savoir: Dubai Cares, Global Partnership for Education, ADEA partager leurs expériences sur le travail avec le FAWE et ont promis leur soutien continu à l’éducation des filles et des femmes sur le continent.

Le nouveau Plan stratégique 2019-2023 du FAWE est centré sur une approche adaptative et basée sur les droits qui positionne l’organisation pour qu’elle reste sensible aux changements contextuels, aborde les problèmes émergents, atténue les défis rencontrés dans l’éducation des filles, promeut les droits et le bien-être des filles et des femmes dans l’adversité et leur permettre d’être des membres autonomes et productifs de leur société. Cliquez sur le lien ci-dessous pour plus d’informations sur le plan stratégique

Nouvelles des partenaires : L’UNESCO lance l’appel à candidatures pour l’édition 2019 du Prix UNESCO pour l’éducation des filles et des femmes

Le 8 mars 2019, Journée internationale de la femme, l’UNESCO lance l’appel à candidatures pour l’édition 2019 du Prix UNESCO pour l’éducation des filles et des femmes.

Le Prix UNESCO pour l’éducation des filles et les femmes récompense les pratiques exemplaires de personnes, d’institutions et d’organisations ou d’autres entités promouvant particulièrement l’éducation des filles et des femmes. Le Prix a été créé par le Conseil exécutif de l’UNESCO à sa 197e session, et a été lancé en 2016 avec le financement généreux de la République populaire de Chine. Le Prix contribue à deux Objectifs du Développement Durable (ODD) : « Assurer une éducation inclusive et équitable de qualité et promouvoir des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie pour tous » (ODD4) et « Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles » (ODD5).

Financé par le Gouvernement de la République populaire de Chine, le Prix attribue chaque année 50 000 dollars des Etats-Unis à deux lauréat(e)s exceptionnel(le)s pour les aider à poursuivre leur travail.

Les candidat(e)s intéressé(e)s qui remplissent les critères de sélection sont invité(e)s à contacter leur Délégation permanente auprès de l’UNESCO, leur Commission nationale pour l’UNESCO ou les ONG en partenariat officiel avec l’UNESCO pour participer. Le processus de nomination se déroule via une plate-forme en ligne, accessible aux États membres de l’UNESCO et aux ONG en partenariat officiel avec l’UNESCO. Elle peut également être ouverte aux candidat(e)s à la demande de l’un de ces organismes.

La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 28 mai 2019 (minuit, heure de Paris).


Télécharger:

UNESCO: Note explacative pour lapel à candidatures 2019

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