APPEL À RÉSUMÉS!

Le FAWE invite les éducateurs, les étudiants, les chercheurs et les autres acteurs de l’éducation à soumettre des résumés pour la 3ème Conférence internationale triennale du FAWE sur les filles. Les candidats intéressés doivent se concentrer sur l’un des cinq sous-thèmes suivants ;

  • Amélioration de l’égalité des sexes dans l’éducation : Le pouvoir des méthodologies d’enseignement et d’apprentissage
  • L’éducation et la technologie : Les leçons apprises et la voie à suivre.
  • L’EFTP comme partie intégrante de l’apprentissage formel pour les filles
  • Lutter contre le nombre croissant de grossesses chez les adolescentes et garantir l’accès à l’éducation pour toutes les femmes et les filles
  • L’éducation : Un catalyseur pour que les filles et les jeunes femmes accèdent à des postes de direction

Pour plus de détails, voir la note conceptuelle et le document d’information ci-dessous :

FAWE International Girls Conference concept note (French Version)

Call for Abstracts – Appel De RÉSUMÉS FAWE 3rd International Girls’ Conference

 

Les candidatures pour le Prix UNESCO de l’éducation des filles et des femmes sont ouvertes!

L’UNESCO a le plaisir d’annoncer le lancement de l’appel à candidatures du Prix UNESCO pour l’éducation des filles et des femmes 2023.

Financé par le gouvernement de la République populaire de Chine, le prix attribue chaque année 50 000 dollars des Etats-Unis à deux lauréats afin de leur permettre de continuer à fournir aux filles et aux femmes l’éducation qu’elles méritent.

Les candidats intéressés remplissant les critères de sélection sont invités à contacter leur Délégation permanente auprès de l’UNESCO, Commission nationale pour l’UNESCO ou une ONG en partenariat officiel avec l’UNESCO pour participer.

Plus d’informations ici.

Photo: UNESCO

LES FEMMES DANS LE LEADERSHIP : ATTEINDRE UN AVENIR EGALITAIRE DANS UN MONDE COVID-19

Écrit par,

Dr Oulimata MBALLO

Les femmes ont toujours occupé une place importante dans la société. Elles jouent un rôle remarquable dans l’orientation de la société vers un développement durable. Elles sont présentes dans la vie politique, sociale, culturelle et économique. Avec l’avènement de la parité homme-femme, elles aspirent à occuper autant que les hommes des postes de pouvoir et de leadership. Seulement l’accès des femmes dans les sphères de prise de décision reste marqué par des inégalités. Le poids des stéréotypes en terme de genre, la sous-estimation de la compétence de la femme, la masculinisation des compétences de leadership, la disparité entre les sexes, … ne font qu’accentuer le déséquilibre entre les hommes et les femmes dans l’accès aux postes de direction.

Pourtant, avoir plus de leaders féminins permettrait d’augmenter l’influence des femmes dans les instances de décision et de tendre vers l’égalité des genres. En plus, une femme leader devient un modèle d’identification pour les filles et les femmes.

Dans un contexte de crise marqué par la pandémie de la Covid-19, les femmes sont confrontées à de nouveaux obstacles qui freinent l’atteinte de l’égalité des genres.  Néanmoins, certaines femmes se sont distinguées en affirmant leur leadership dans la gestion de la crise sanitaire. Ainsi, comme le disait Mme Amina Mohammed, vice-secrétaire générale de l’ONU, lors d’une réunion virtuelle rassemblant des femmes influentes de différentes régions, « les gens du monde entier ont constaté ce que beaucoup d’entre nous savaient déjà : le leadership des femmes fait une différence profonde […] Pays après pays, les gouvernements dirigés par des femmes se sont avérés plus efficaces pour aplanir la courbe et se positionner pour la reprise économique. »

En effet, ces femmes, chefs de gouvernement ont été reconnues comme ayant fait des progrès remarquables dans la lutte contre la pandémie à Coronavirus.

En plus la majeure partie du personnel médical dans le monde sont des femmes. Elles sont en première ligne de la lutte contre la pandémie.

Les femmes peuvent être de véritable moteur de développement si elles accèdent à des postes de pouvoir et de leadership.

Les gouvernements et les décideurs doivent prendre en compte la question du genre dans les décisions prisent pour faire face à la pandémie. Ils doivent assurer la participation des femmes dans les commissions chargées de faire face à la crise sanitaire.

A l’occasion de la célébration de la journée des droits de la Femme, je tire un chapeau bas à toutes ces femmes qui ont lutté pour le droit de vote des femmes, à celles qui sont dans les maisons, dans les zones de conflit,  à celles qui subissent de violences sexuelles et sexistes, à ces femmes leader qui inspirent la jeune génération à l’image de la vice-présidente des Etats Unis : Kamala Harris, aux femmes qui ont marquées la science notamment Marie Curie avec ses deux prix Nobel pour ses travaux sur la radioactivité…

L’égalité entre homme et femme n’est pas un idéal, mais une nécessité. C’est une question de justice et d’équité qui nous conduira à un monde plus juste et plus inclusif.

A compétence égale, une femme doit avoir les mêmes chances qu’un homme d’accéder à un poste de responsabilité afin d’exercer son leadership.

Dr Oulimata MBALLO

Docteur en Physique

Professeure de Physique-Chimie

Secrétaire générale de l’association des Alumni FAWE/SENEGAL

“Le programme de bourses du FAWE-MCF m’a aidé à rester en bonne santé et à subvenir à mes besoins pendant la pandémie du COVID-19”

Beamlak est une jeune fille de 20 ans qui vit dans l’État régional d’Amhara, dans la ville de Bahirdar, et qui est l’une des bénéficiaires du programme de bourses d’études MCF FAWE. Elle fait partie de la cinquième cohorte de boursiers et poursuit ses études à Tana Haik, l’une des écoles partenaires.

Avant de bénéficier du programme de bourses d’études Mastercard du FAWE-Éthiopie, elle préparait et vendait des Kollo (céréales grillées) et des Kita (sorte de crêpes cuites au four) dans les bars locaux. Pour préparer ces casse-croûte, elle devait se pencher pendant de longues heures et parcourir de longues distances à pied pour les vendre. Grâce à la vente de Kollo et de Kita, elle a pu subvenir à ses besoins jusqu’en huitième année.

Elle souffre d’une maladie scientifiquement connue sous le nom de L4, 5, un renflement symétrique du disque qui provoque une sténose bilatérale modérée du foramen neural et une légère sténose du canal rachidien. Ses examens médicaux ont récemment montré que son activité génératrice de revenus antérieure l’avait exposée à la maladie. Avant que son problème ne soit identifié, elle avait été examinée dans différentes cliniques à Bahirdar (tests de dépistage du paludisme, orthopédie) et différents médicaments lui avaient été prescrits et administrés, mais sans succès. Elle a même essayé la physiothérapie à l’hôpital public de Felege Hiwot, pendant 12 jours. La situation s’est aggravée au fil du temps et elle a décidé de demander l’intervention divine en essayant l’eau bénite en dehors de la ville de Bahirdar. Elle y est restée 15 jours, mais cela n’a pas marché.

Elle est retournée à Bahirdar depuis le site de l’eau sainte, toujours en douleur, et a essayé une autre clinique. Le médecin a insisté sur la nécessité de lui faire passer une IRM et le résultat montre qu’elle avait un renflement symétrique des disques L4 et 5. Elle a été placée sous médicaments pendant un mois et on lui a demandé de retourner à la clinique après un mois.

Beamlak a épuisé toutes ses ressources financières pour les examens médicaux et les médicaments et a également dépensé tout l’argent de l’aide au logement offert par le programme de bourses de MCF. Elle était très inquiète quant à la façon de survivre pour les mois à venir. “Outre l’insuffisance financière à laquelle j’étais confrontée, j’étais très stressée et inquiète de savoir où trouver de l’aide pour survivre”. Bien qu’elle ait eu une assurance maladie de 1000.00 ETB dédiée à chaque boursier, ses dépenses étaient beaucoup plus élevées que le budget prévu pour l’assurance maladie. Elle a été obligée d’emprunter pour compléter l’argent utilisé pour son aide au logement du programme. Pour qu’elle puisse couvrir les frais médicaux encourus, le MCF, en collaboration avec le FAWE, a prévu de soutenir les boursiers grâce à l’intervention du Covid-19. “Je suis soutenue avec le montant restant pendant la pandémie du COVID-19”. a-t-elle ajouté.

Aujourd’hui, elle est en bonne santé et a déclaré que si elle n’était pas bénéficiaire du programme de bourses de Mastercard, il lui serait difficile de se payer un traitement médical. Elle remercie la Fondation Mastercard et le FAWE-Éthiopie pour leur soutien qui lui a permis de se rétablir pendant la période du COVID-19.

Eneye’s en bonne voie d’accéder à l’autosuffisance

Eneye Wase est une étudiante de la cinquième cohorte qui vit dans l’État régional de Sidama (anciennement connu sous le nom de Southern Nations, Nationalities Peoples’ regional state), à Hawassa Ville. Elle est issue d’un milieu pauvre et poursuit actuellement ses études à l’école Tabor.

Elle vit seule, bénéficiant d’une aide au logement dans le cadre du programme de bourses de MCF. Sa famille vit à Gonder, à plus de 1000 km d’Hawassa. Comme elle n’a pas d’autre soutien financier que celui du programme pour mener sa vie, elle mène des activités génératrices de revenus principalement le week-end, en particulier pendant la période où les écoles sont fermées en raison de la pandémie du Covid-19. Elle se rend régulièrement sur les places de marché pour vendre des pyjamas et des produits de beauté pour subvenir à ses besoins.

Quand nous avons rendu visite à Eneye, elle nous a dit qu’elle avait des problèmes financiers à cause d’une inflation des prix des marchandises, ce qui a rendu difficile l’achat de produits de première nécessité. Compte tenu des difficultés financières existantes, le budget de riposte au COVID 19 a été dégagé et remis aux boursiers. Le soutien comprenait une allocation mensuelle supplémentaire, le loyer, les forfaits téléphoniques et les articles sanitaires nécessaires à la protection du COVID 19, tels que les masques faciaux, l’alcool et le savon.

L’obtention de ce soutien a soulagé Eneye des pressions financières. Elle peut désormais acheter des produits de première nécessité et économiser sur la nourriture et les articles sanitaires. Elle a également utilisé l’aide pour améliorer ses activités génératrices de revenus en disposant de produits supplémentaires à vendre, ce qui lui a permis d’augmenter les bénéfices de son commerce de la rue. Elle utilise correctement l’aide à la protection du COVID-19 et sa situation financière est plus stable en ce moment. Elle a donc déclaré : “L’aide m’a beaucoup aidée et m’a soulagée de mes soucis et de mon stress. Je subviens maintenant à mes besoins de base et j’améliore mon programme de génération de revenus afin de me développer davantage et d’obtenir de meilleurs revenus“.

“Apprentissage en ligne a permis d’enseigner à un grand nombre d’étudiants pendant la pandémie COVID 19″ – Bekele Shikur

Par l’équipe  FAWE Ethiopie

Bekele Shikur est professeur de mathématiques dans une des écoles partenaires dénommée Bashewam School à Addis-Abeba, en Éthiopie. Il est devenu enseignant non pas par choix mais grâce à l’enseignement, il a appris que l’enseignement est un moyen de former moralement les générations et de doter les enfants de connaissances à travers l’éducation.

La pandémie du COVID lui a donné l’occasion d’enseigner aux étudiants au moyen d’une plateforme en ligne créée par l’école et d’assurer un cours de tutorat pour les étudiants du FAWE-Éthiopie et de la Fondation Mastercard dans trois régions, dont Addis-Abeba.

Il a expliqué que le COVID-19 a eu de nombreuses conséquences sur le processus d’enseignement et d’apprentissage. A titre d’exemple.

  • Comme les étudiants restent à la maison, ils sont exposés au stress, à l’anxiété et aux problèmes psychologiques. Pour améliorer leur performance, ils doivent travailler dur et consacrer plus de temps à leurs études par rapport à l’enseignement physique.
  • L’évaluation des performances globales des étudiants s’en est trouvée compliquée. Auparavant, l’évaluation était basée uniquement sur les examens

Dans le cadre de la transformation du processus d’enseignement et d’apprentissage en plateformes en ligne, différentes activités ont été réalisées grâce à un partenariat créé avec des écoles partenaires, comme la formation d’enseignants sélectionnés sur la technologie, et plus particulièrement sur l’utilisation de l’application Google Class Room.

La deuxième activité consistait à mettre en place une salle de classe Google pour certaines matières et à évaluer le nombre d’élèves ayant accès à des smartphones. Les étudiants ont ensuite été invités à créer des adresses e-mail. La troisième et dernière activité consistait à inviter les étudiants à rejoindre la salle de classe Google en utilisant le code attribué à la classe.

Comme l’application n’avait pas été utilisée auparavant, il était difficile pour certains universitaires de se familiariser avec le programme d’enseignement en ligne.  Par la suite, ils ont appris à utiliser l’application et en ont beaucoup profité. La connectivité Internet reste un défi, ce qui rend difficile pour les enseignants d’évaluer le niveau d’attention des apprenants.

“Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai la chance d’enseigner grâce aux nouvelles plateformes technologiques et de pouvoir enseigner à un grand nombre d’étudiants qui vivent dans différentes villes en même temps, ce qui pourrait être difficile à faire dans le cadre d’un programme d’enseignement en présentiel”, a ajouté M. Bekele.

Les principales préoccupations de M. Bekele concernant l’enseignement en ligne sont les suivantes:

  • Les mécanismes d’évaluation et la notation se faisaient auparavant sur la base d’un examen ; nous devons donc reprendre d’autres types d’évaluation tels que le travail de groupe et les exposés.
  • Le processus d’enseignement et d’apprentissage dépend des notes fournies par l’enseignant
  • Le manque d’interaction directe avec les élèves et entre l’enseignant et les élèves

“En plus de cela, l’expérience que les étudiants acquièrent en utilisant la plateforme en ligne les aidera à accéder facilement à d’autres plateformes d’enseignement et d’apprentissage à l’avenir”, a déclaré l’enseignant.

Les équipes du projet FAWE – WASH (l’eau et l’assainissement) dans les écoles distribuent des masques aux écoles des districts de Port Loko, Kambia et Kareneh en Sierra Leone

Par l’équipe du FAWE Sierra Leone

Le ministère de l’Education de la Sierra Leone a annoncé la réouverture des écoles pour l’année scolaire 2020/2021 en octobre 2020 et a publié des directives élaborées en collaboration avec les parties prenantes de l’éducation, notamment le ministère de la santé et de l’assainissement (MoHS).

En réponse à l’annonce de la réouverture des écoles, et en reconnaissance de l’impact étendu de l’épidémie du COVID 19, l’équipe du projet FAWE-WASH dans les écoles a distribué des masques à 9 000 enfants scolarisés dans 40 écoles cibles pour s’assurer qu’ils respectent les directives du ministère de l’Education qui incluent, sans s’y limiter:

  • Tous les enfants des écoles primaires et secondaires sont tenus de porter un masque.
  • Les enfants dont l’état de santé est connu doivent le signaler à l’administration de l’école pour obtenir une dérogation et prendre d’autres mesures de précaution.
  • Tous les vendeurs de nourriture dans les enceintes des écoles doivent porter des masques et sont soumis à des contrôles de température.
  • Des postes de lavage des mains doivent être disponibles là où la nourriture est vendue.
  • Tous les élèves, le personnel et les visiteurs doivent se laver les mains (ou utiliser des désinfectants à base d’alcool si possible) lorsqu’ils entrent dans les bus et les enceintes scolaires. Des postes de lavage des mains ont été mis en place dans toutes les écoles de Sierra Leone.

Le port d’un masque à l’école est essentiel pour réduire le risque de propagation du virus corona, mais la plupart des parents ne peuvent pas se permettre de financer l’achat d’un masque pour leurs enfants. Pour ceux qui le font, ils sont confrontés à un problème d’accès car il n’y a pas de marché prêt dans les villages. Les enfants, les enseignants et les administrateurs scolaires sont donc souvent repérés lorsqu’ils fréquentent l’école sans porter de masque facial.

Organisation réussie par le FAWE de sa 2ème conférence internationale sur l’éducation des filles en Afrique

Les 18 et 19 novembre 2020, le FAWE a accueilli la 2ème Conférence internationale sur l’éducation des filles en Afrique. En raison des restrictions dues au Covid-19, la conférence, organisée tous les trois (3) ans, s’est tenue virtuellement sous le thème “Vers des approches efficaces pour l’engagement et l’excellence des filles” : Préparer les filles africaines aux compétences du 21e siècle”.

Les discussions de la conférence étaient basées sur des thèmes tels que: Accroître la participation des filles dans les STIM; Combler le fossé entre l’éducation et les compétences du travail par l’offre de formations adaptées au marché du travail; La pédagogie sensible au genre et les politiques éducatives dans le cadre des STIM. Le but principal de la conférence était de fournir une opportunité de vivre des expériences esthétiques et des interventions artistiques afin d’explorer des voies alternatives de réflexion pour préparer les filles africaines aux compétences du 21ème siècle et renforcer l’adoption des STIM par les filles et les femmes.

Les panélistes ont animé des discussions en partageant des expériences de différentes régions d’Afrique, notamment d’Afrique de l’Est, de l’Ouest et de l’Afrique australe, en soulignant le besoin croissant d’intégrer la technologie dans l’éducation, comme en témoigne la pandémie actuelle. Le point fort de la conférence a toutefois été le lancement du portail en ligne du FAWE ainsi que du livret sur les STIM. En outre, un communiqué a été préparé à partir des discussions, des points de vue, des préoccupations, des engagements et des recommandations soulevés lors des séances plénières et des réunions thématiques de la conférence.

Parmi les invités distingués qui ont honoré l’occasion, citons : l’invitée d’honneur, la professeure Sarah Agbor, commissaire aux ressources humaines, à la science et à la technologie de l’Union africaine, Mme Hendrina Doroba Chalwe, directrice de division de la Banque africaine de développement (BAD), Mme Dana Amro (Dubai Cares), Mme Irere Claudette, ministre d’État chargée des TIC et de l’EFTP au Rwanda, Claudiana A. Cole, ministre de l’Education de base et de l’enseignement secondaire de Gambie, le Dr Yumiko Yokozeki, directrice de l’Institut international de l’UNESCO pour le renforcement des capacités en Afrique (IIRCA), le Dr David Moinina Sengeh, ministre de l’Education de base et de l’enseignement secondaire supérieur de Sierra Leone et la professeure Naana Jane Opoku- du Conseil du FAWE Afrique, entre autres.

De l’apprentissage traditionnel au tableau noir à l’apprentissage moderne pour les boursiers du programme STIM en Ouganda

Par l’équipe du FAWE Ouganda

De nombreux enseignants des écoles STIM en Ouganda abandonnent l’ancienne méthode d’enseignement traditionnel au tableau noir au profit d’une approche par ordinateur qui favorise l’apprentissage interactif et pratique.

Cette nouvelle méthode d’enseignement implique l’utilisation d’ordinateurs, de projecteurs et le transport de spécimens en classe, par exemple dans les cours de biologie, puis la discussion d’innovations d’actualité centrées sur l’élève, plus particulièrement en physique, à chaque apparition du professeur en classe.

Dans le cadre de cette nouvelle méthode, la recherche est obligatoire, car les enseignants sont censés chercher des vidéos pertinentes portant sur différents thèmes d’apprentissage, dont la recherche est proposée aux élèves qui sont censés utiliser les laboratoires informatiques pour étudier plus en détail les questions qu’ils doivent encore apprendre dans les jours à venir.

Les étudiants bénéficient d’une expérience de première main pendant leur apprentissage. Après tout, voir c’est croire!

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