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Nous espérons que 2018 a été une année fructueuse pour vous et nous vous remercions pour votre soutien continu.

Dès 2019, nous travaillerons à donner aux filles et aux femmes africaines les aptitudes, les valeurs et les compétences nécessaires pour la réalisation de leur plein potentiel, comme prévu dans notre nouveau Plan Stratégique 2019-2023.

Nous vous souhaitons du bonheur et de la santé pour l’année 2019 et vous invitons à vous associer à nous dans cette noble cause.

Le FAWE cherche à recruter au poste de Directrice Exécutive, une personne hautement qualifiée et axée sur les résultats, intègre et apte à travailler en partenariat avec une équipe dynamique des professionnels.

Sous la supervision du Conseil d’administration du FAWE Afrique, la Directrice exécutive (DE) sera à la tête du Secrétariat régional et assurera un leadership stratégique à l’organisation.

La candidate retenue devra avoir un diplôme d’études universitaires supérieures, avec un penchant dans le domaine de Gestion stratégique, de Genre, de Développement ou des Sciences de l’éducation. Il/Elle devra avoir au moins 15 à 20 ans d’expérience, avec des compétences solides de leadership, et de bon leader dans une organisation régionale. L’expérience dans une organisation dirigée par des femmes serait un atout.

La date limite de candidature est vendredi le 21 décembre 2018.

Annonce de vacance détaillée

Après onze années de dévouement et de contribution à l’éducation des filles sur le continent, dont plus de cinq à la barre, Mme Hendrina Chalwe Doroba a quitté FAWE Afrique au poste de directrice exécutive du secrétariat régional, à compter de fin septembre 2018. Son départ a été annoncé par Prof. Naana Jane Opoku-Agyemang, Présidente du comité exécutif de FAWE Afrique.

Dans une communication au réseau des Antennes Nationales et aux partenaires du FAWE, le Prof. Opoku-Agyemang a annoncé la nomination de Mme Martha Muhwezi au poste de directrice exécutive dans l’attente de l’embauche d’une nouvelle directrice exécutive par le comité exécutive du FAWE Afrique.

«Mme. Muhwezi est actuellement la Coordinatrice Principale des Programmes du Secrétariat Régional et elle a travaillé en étroite collaboration avec Hendrina au cours des dernières six ans et FAWE est confiant que Mme. Muhwezi dirigera très bien le Secrétariat pendant cette période de transition,» a déclaré la présidente.

Avant de rejoindre FAWE, Hendrina a travaillé chez l’ambassade d’Irlande au Zambie en tant que responsable de l’éducation et chez Oxfam GB Zambie en tant que coordinatrice nationale de Fonds d’éducation du Commonwealth, un projet soutenant et renforçant les capacités de 12 ONG locales. Elle a également enseigné les mathématiques et la géographie dans les écoles secondaires et a mis au point et coordonné des programmes de formation continue pour les enseignants de mathématiques en Zambie pendant plus de 20 ans.

Hendrina est diplômée et est membre du Réseau Global des Femmes en Leadership (GWLN) et agrégée supérieure chez Synergos. Elle intègre à la Banque Africaine de Développement en tant que Chef de Division – Éducation et développement des compétences.

Le FAWE est heureux d’annoncer les bourses du Commonwealth pour les études de maîtrise et de doctorat.

Le FAWE étant une agence de nomination pour les bourses du Commonwealth, les candidats souhaitant être nommés par le FAWE doivent soumettre une copie de leur formulaire de candidature en ligne dûment complété au secrétariat de l’Antenne National du FAWE avant le 10 décembre 2018.

Cliquez ici pour plus d’informations.

Le 11 octobre est la Journée internationale de la fille.

En Afrique, les filles sont trop souvent laissées pour compte lorsqu’il s’agit d’acquérir les compétences dont elles ont besoin pour pouvoir obtenir de bons emplois. Deux approches peuvent pourtant leur être bien bénéfiques : un programme basé sur les compétences et une formation sensible au genre.

Lisez article de blogue par Martha Muhwezi, Directrice Exécutive (p.i.) du FAWE pour célébrer la Journée internationale de la fille 2018.

Dans ce qui est considéré comme un coup de pouce majeur à la promotion de l’égalité des sexes dans l’éducation en Afrique, les ministres de l’éducation de tout le continent ainsi que d’autres représentants gouvernementaux de haut niveau, le 27 avril 2018, se sont engagés à mettre en œuvre la stratégie pour l’égalité entre les femmes et les hommes, cadre de recentralisation et d’intégration des perspectives de genre dans la mise en œuvre de la Stratégie d’éducation continentale pour l’Afrique (CESA 2016-2025).

Les Ministres ont participé à la Conférence panafricaine de haut niveau sur l’éducation (PACE 2018) qui s’est tenue du 25 au 27 avril 2018 à Nairobi, au Kenya, accueillie par le gouvernement du Kenya, l’Union africaine et l’UNESCO. L’objectif de la conférence était de générer une vision harmonisée de la transformation de l’éducation sur le continent, telle qu’énoncée dans l’Agenda 2063 de l’Union africaine «L’Afrique que nous voulons» et le Programme mondial 2030 pour le développement durable, en particulier sur l’ODD 4 et l’éducation continentale. Stratégie pour l’Afrique (CESA 16-25).

Dans une déclaration intitulée «Déclaration de Nairobi», les ministres ont décidé de réaliser l’égalité des sexes sur le continent en «mettant en œuvre la Stratégie d’égalité des sexes pour CESA 2016-2025 au niveau national, rendant tous les aspects du système éducatif sensibles au genre, réactifs et transformatifs en assurant l’accès à l’éducation sexuelle pour les adolescents et les jeunes. ”

Lire: Stratégie pour l’Egalité des Genres pour la Stratégie Continentale de l’Education pour l’Afrique 2016-2025

En outre, les ministres se sont engagés à accroître l’accès équitable à une éducation et une formation techniques et professionnelles de qualité sous toutes leurs formes et reconnaissent qu’il devrait être transversal et englober l’apprentissage continu de l’entrepreneuriat, de l’employabilité, du renforcement des capacités, de la reconversion et de la polyvalence.

Les ministres ont également accueilli favorablement l’appel à inclure systématiquement les organisations dirigées par des jeunes et jeunes impliqués dans la prise de décision sur l’éducation continentale, régionale et nationale, le dialogue sectoriel et les processus de suivi.

Plus de 400 participants y compris des représentants des organisations des Nations Unies, de l’Union Africaine (UA), ainsi que des organisations panafricaines et sous-régionales incluant le FAWE, la société civile, les organisations de jeunesse et les partenaires internationaux au développement.

Cette conférence sur les progrès de la mise en œuvre de l’ODD 4 sur l’éducation de qualité s’appuie sur les acquis de la Déclaration de Kigali faite à Kigali au Rwanda en 2015.

Lors de leur vingt-sixième session ordinaire le 31 janvier 2016 à Addis-Abeba, les chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine ont adopté la Stratégie continentale d’éducation pour l’Afrique (CESA 2016-2025) comme cadre pour un système d’éducation et de formation en Afrique; en parallèle avec l’objectif 4 des objectifs mondiaux de développement durable.

Reconnaissant la nécessité de recentrer et d’intégrer l’égalité des sexes dans les systèmes éducatifs en Afrique, le Centre pour l’éducation des filles et des femmes en Afrique (UA-CIEFFA) et le FAWE ont élaboré la Stratégie d’égalité des sexes, un cadre qui fournit des orientations détaillées pour l’Afrique. Les États membres devront intégrer les perspectives de genre lors de la mise en œuvre du CESA 2016-2025. Le FAWE et le CIEFFA de l’UA ont depuis lors entrepris de vulgariser la Stratégie d’égalité entre les sexes pour le CESA 16-25 parmi les États membres africains avec le soutien du Comité technique spécialisé sur l’éducation des Chefs d’État de l’UA.

Télécharger:

Déclaration de Nairobi (en anglais)

La Directrice Exécutive du FAWE Afrique, Mme Hendrina Doroba, s’est jointe au Secrétaire de Cabinet du Kenya de l’Ambassadeur de l’éducation, Hon. Amina Mohamed lors du lancement du 6ème rapport d’évaluation sur le genre en Afrique du Rapport mondial de suivi sur l’éducation de 2018 (GEMR). Ce lancement sous le thème «Responsabilité pour l’égalité des genres dans l’éducation» s’est tenu en marge de la réunion panafricaine de haut niveau sur l’éducation organisée par l’UNESCO et le gouvernement du Kenya en collaboration avec plusieurs partenaires. Les États partagent leurs expériences et contribuent aux discussions en cours sur la vision 2063 de l’Union africaine : «L’Afrique que nous voulons».

Mme Doroba, qui a prononcé l’allocution en tant que membre du Conseil consultatif mondial du GEMR, a attribué certaines des réalisations du rapport aux engagements fructueux du FAWE et d’autres partenaires partageant les mêmes idées au cours des premières années, dont les résultats se sont faits ressentis.

“Au cours de ses 25 années d’existence, le FAWE a influencé les changements positifs dans le paysage politique de nombreux Etats africains. Le FAWE s’est engagé avec les gouvernements, les écoles et les communautés pour développer, mettre en œuvre et promouvoir des politiques et des pratiques qui favorisent l’éducation des filles et des femmes. Par exemple, la campagne «Envoyer votre fille à l’école» a convaincu de nombreux parents d’offrir à leurs filles l’opportunité d’exercer leurs droits à l’éducation, ce qui a permis à la majorité des pays d’atteindre la parité entre les sexes tout en s’assurant que les filles ne s’inscrivent pas seulement mais qu’elles soient soutenues pour rester à l’école jusqu’à ce qu’elles achèvent leur cursus», a déclaré Mme Doroba.

Dans son allocution, la Directrice Exécutive du FAWE a présenté la stratégie d’égalité des sexes pour la Stratégie d’éducation continentale de l’Union africaine pour l’Afrique CESA 16-25 comme outil pour guider les États africains sur la meilleure façon d’intégrer l’inclusion, l’équité et l’égalité des genres dans l’éducation. un cadre de suivi sensible au genre qui permettra aux États membres de l’Union africaine de mesurer les progrès vers l’égalité des sexes et ses avantages pour le développement aux niveaux national, sous-régional et continental.

Mme Doroba a recommandé l’intégration de la Stratégie pour l’égalité des sexes dans les plans nationaux d’éducation et les processus de mise en œuvre, le renforcement des systèmes nationaux de gestion de l’information sur l’éducation (EIMS) et le renforcement du cadre de suivi et d’évaluation. l’intégration de la dimension de genre dans le secteur de l’éducation.

Mme Doroba a souligné la nécessité d’une refonte des attitudes et des stéréotypes sexistes dans l’environnement d’apprentissage scolaire, le sort des femmes dans le leadership et la capacité ou non de collecte de données par les pays africains, y compris l’utilisation des TIC.

La Directrice Exécutive a conclu son intervention en exhortant les États membres à donner priorité à l’égalité des sexes en tant qu’élément fondamental du développement tant national qu’international si l’on veut parvenir à une transformation positive. Elle les a encouragés à donner priorité à l’inclusion des personnes les plus défavorisées et marginalisées; à réduire l’écart d’apprentissage des filles avec de multiples handicaps, y compris celles économiquement défavorisées, les orphelins, les ruraux pauvres, les personnes handicapées, les réfugiés, les personnes déplacées et ceux qui vivent dans des zones de conflit et après conflit.

Télécharger: Discours du Directrice Exécutive du FAWE Afrique au lancement du rapport Genre du GEM pour l’Afrique

Dans le passé, les femmes ont été ignorées dans le développement des systèmes éducatifs en Afrique. Cela est évident dans les disparités flagrantes dans les taux d’accès, de rétention et d’achèvement pour les garçons et les filles. Pendant très longtemps, les filles ont constitué la plus grande proportion d’enfants qui n’avaient pas accès à l’éducation.

Lisez article de blogue par Hendrina Chalwe Doroba, Directrice Exécutive du FAWE pour célébrer la Journée internationale de la femme 2018.

Le Forum des éducatrices africaines (FAWE) a pris part à une cérémonie tenue dans la ville du Koweït le 13 décembre 2017 et a été couronné Lauréat du prix Al-Sumait 2017 pour le développement de l’Afrique dans le domaine de l’éducation.

Le prix d’une valeur de un million de dollars US a été présenté au FAWE pour ses réalisations visant à améliorer significativement l’équité et l’égalité entre les sexes dans le secteur de l’éducation par le biais de programmes ciblés, ayant un profond impact sur les attitudes et les pratiques pour l’éducation des filles et influencer les politiques de l’éducation dans 33 pays africains.

La cérémonie a été présidée par Son Altesse le Prince Amir Adjoint Nawaf Al Ahmed Al Sabah qui a décerné le prix 2017, d’une valeur d’un million de dollars, une médaille d’or et un bouclier attribué à la Directrice Exécutive du FAWE Afrique Mme Hendrina Doroba, en compagnie de la Présidente du FAWE Afrique Professeur Naana Jane Opoku-Agyemang de même que Mme Martha Muhwezi, Directeur des Programmes.

Rayonnant de joie en recevant le prix au nom du réseau FAWE, Mme Doroba a déclaré “Nous sommes très honorés par ce prix qui sera utilisé pour appuyer nos efforts dans la promotion et le développement de l’équité et l’égalité dans l’éducation sur le continent Africain, notamment au travers de nos centres d’excellence et des partenariats avec les gouvernements à dans toute l’Afrique”

La Directrice Exécutive a souligné que “Ce prix n’est pas qu’une merveilleuse façon de reconnaître l’excellent travail du FAWE, comme fait une organisation en Afrique pour émanciper les jeunes filles et femmes, et créer des sociétés plus égalitaires, mais aussi une reconnaissance au femmes galantes du FAWE qui ont voyagé en territoire inconnu au cours des 25 dernières années de l’existence de l’organisation.”

Lancé en 2013 par l’Émir du Koweït, cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al- Sabah, le Prix Al-Sumait pour le développement de l’Afrique est conçu pour récompenser les initiatives novatrices et inspirantes et la recherche par les individus et organisations qui abordent les défis auxquels fait face le continent africain. Ce prix reconnaît et honore les personnes ou institutions qui contribuent à faire progresser le développement économique et social, Développement des ressources humaines et de l’infrastructure en Afrique.

Dr Adnan Shihab-Eldin, Directeur Général de la Fondation koweïtienne pour l’Avancement des Sciences (KFAS), qui gère le Prix Al-Sumait pour le développement de l’Afrique, a déclaré à l’auditoire que l’approche stratégique et inclusive du FAWE pour la lutte contre l’inégalité dans le secteur de l’éducation en particulier entre filles et garçons dans l’éducation a été une véritable source d’inspiration”.

Pour sa part, Mme Opoku-Agyemang, Présidente du FAWE Afrique a noté que “le prix n’est pas seulement un prix pour une seule personne, mais plutôt un prix qui met en valeur l’impact du Pan Africanisme. ” Elle a répété que “le FAWE travaille à influer les cycles de la pauvreté, de l’ignorance, de l’analphabétisme et de tous les autres facteurs qui limitent la valeur réelle de l’éducation sur le continent.”

Dans les 25 années de son existence, le FAWE a apporté un changement positif dans le paysage politique de nombreux États africains. La campagne “Envoyez votre enfant-fille à l’École” dans ses premières années a convaincu de nombreux parents à permettre à leurs filles d’exercer leurs droits à l’éducation, résultant de l’atteinte à la parité entre les sexes à l’école primaire dans la majorité des pays et de prendre des mesures pour veiller à ce que les filles ne s’inscrivent pas seulement mais sont prises en charge jusqu’à ce qu’elles achèvent leurs études.

Les interventions Écoles Basées sur le Genre ou intervention Centres d’Excellence (CoE) dont le FAWE a remporté le prix visant à résoudre de façon globale l’évolution historique des pratiques discriminatoires à l’égard des apprenants grâce à une combinaison d’interventions. Le modèle souligne la nécessité de renforcer les compétences pédagogiques des enseignants leur permettant d’améliorer la qualité de l’expérience d’apprentissage tant pour les apprenants hommes et femmes, et favoriser une bonne évolution de l’interaction en classe entre l’enseignant et l’apprenant et également entre les apprenants hommes et femmes. Le modèle de gestion oblige à tenir compte des besoins spécifiques des apprenants femmes et hommes, et de promouvoir la participation des femmes au leadership étudiant. En Europe, le partenariat école-communauté est parti intégrante de l’aide psychosociale aux apprenants, en particulier les filles qui ont besoin d’une transition en toute sécurité jusqu’à l’adolescence, afin de combler le fossé entre les sexes dans le maintien du taux de rétention, de rendement et d’achèvement.

Le FAWE apprécie les Antennes Nationales qui ont été les acteurs clés de l’ensemble des CoE dans les 33 pays et également les gouvernements africains pour avoir accepté de collaborer avec le FAWE dans cette cause. Les 25 années d’existence du FAWE ont été réalisées grâce à des efforts inlassables du personnel régional et national ainsi que des bénéficiaires du réseau, qui ont traduit les opportunités en développement personnel et communautaire.

Le prix Al-Sumait est géré par un Conseil d’Administration composé d’Eminentes personnalités internationales dans le domaine du développement en Afrique et de philanthropes de renommée mondiale. Le Conseil est présidé par S.E. le cheikh Sabah Khaled Al-Hamad Al-Sabah, Premier vice-Premier Ministre et Ministre des affaires étrangères de l’État du Koweït.

Autres administrateurs : M. Bill Gates, Co-Président de la Fondation Bill & Melinda Gates Foundation, M. Makhtar Diop, Vice-président de la Banque Mondiale pour l’Afrique, le Dr Kwaku Aning, ancien Directeur Général Adjoint de l’Agence Internationale de l’énergie atomique, et M. Abdulatif Al-Hamad, Directeur Général et Président du Conseil d’Administration du Fonds Arabe pour le Développement Économique et Social.